Si Sarkozy nous était conté …
La section PS de Narbonne communique
Si Sarkozy nous était conté …
Si Sarkozy nous était conté …
La mégalomanie dél(iran)te de notre Président n'ayant pas de limites, c'est à Versailles que le "vide suprême" de notre pays s'est rendu prêcher la bonne parole.
Nous serions malvenus, nous socialistes héritiers de la révolution Française, d'adouber celui qui a donné ses lettres de noblesse au château de Versailles : Louis XIV.
Force est de reconnaître que la cour qui entourait le « roi soleil » et celle qui idolatre notre « Président Rolex » était d'un tout autre acabit.
Colbert n'hésita pas, dans sa gestion des finances publiques, à donner une part prépondérante à l'intervention de l'Etat.
Aujourd'hui nous avons Christine Lagarde, une ministre des finances dont chaque intervention est source de sarcasmes, railleries et moqueries.
Pour l'anecdote Colbert fit paver les rues de Paris, peut être sera-ce la seule chose qui réunira un jour ces deux personnages.
Car, qui sait si ces pavés ne serviront pas aux gens du peuple pour déloger Mme Lagarde et ses condisciples, tant leur politique injuste et méprisante ne fait qu’exacerber la colère grandissante dans notre pays.
Cette époque fut celle, aussi, où notre prestige culturel s'affirma.
Grâce au mécénat, des figures artistiques comme Molière, La Fontaine, Racine et tant d’autres, entrèrent dans notre mémoire collective.
Pauvres historiens qui devront demain se contenter de disserter sur des personnages aussi pittoresques ou parfois même pathétiques que sont les Bigard, Didier Barbelivien, Johnny Hallyday, Doc Gynéco ou Christian Clavier, « l’élite intellectuelle » qui entoure et squatte au quotidien le résident du Palais de l’Elysée …
Quand bien même certains nous accuseront, à tort, d'utiliser la … Lang de b(l)ois, participer à cette mascarade Versaillaise fut une décision difficile à prendre.
Gageons que nos compatriotes nous rendrons grâce de nous être comportés en républicains respectueux de nos institutions.
Nous serions malvenus, nous socialistes héritiers de la révolution Française, d'adouber celui qui a donné ses lettres de noblesse au château de Versailles : Louis XIV.
Force est de reconnaître que la cour qui entourait le « roi soleil » et celle qui idolatre notre « Président Rolex » était d'un tout autre acabit.
Colbert n'hésita pas, dans sa gestion des finances publiques, à donner une part prépondérante à l'intervention de l'Etat.
Aujourd'hui nous avons Christine Lagarde, une ministre des finances dont chaque intervention est source de sarcasmes, railleries et moqueries.
Pour l'anecdote Colbert fit paver les rues de Paris, peut être sera-ce la seule chose qui réunira un jour ces deux personnages.
Car, qui sait si ces pavés ne serviront pas aux gens du peuple pour déloger Mme Lagarde et ses condisciples, tant leur politique injuste et méprisante ne fait qu’exacerber la colère grandissante dans notre pays.
Cette époque fut celle, aussi, où notre prestige culturel s'affirma.
Grâce au mécénat, des figures artistiques comme Molière, La Fontaine, Racine et tant d’autres, entrèrent dans notre mémoire collective.
Pauvres historiens qui devront demain se contenter de disserter sur des personnages aussi pittoresques ou parfois même pathétiques que sont les Bigard, Didier Barbelivien, Johnny Hallyday, Doc Gynéco ou Christian Clavier, « l’élite intellectuelle » qui entoure et squatte au quotidien le résident du Palais de l’Elysée …
Quand bien même certains nous accuseront, à tort, d'utiliser la … Lang de b(l)ois, participer à cette mascarade Versaillaise fut une décision difficile à prendre.
Gageons que nos compatriotes nous rendrons grâce de nous être comportés en républicains respectueux de nos institutions.