C’était le fias ... Co ... penhague !

L’enthousiasme ... pudique, de bon nombre de responsables de la planète réunis à Copenhague, à solutionner les conséquences du changement climatique dont nous pâtirons dans les décennies à venir, est affligeant.

Ce qui aurait pu être un espoir se termine par un nouveau coup d'épée dans la couche d'ozone.

Il faut croire que peu ont pris conscience que c’est bel et bien les lois physiques de la nature qui nous gouvernent ?




Passons rapidement sur notre représentant : Nicolas Sarkozy qui, comme chacun le sait, est à l'écologie ce que Bernard Madoff est à la philanthropie ...

Notre président, en totale perte d'identité … présidentielle dans son pays, veut apparaître comme le sauveur de la planète : fichtre !

C'est gonflé quand on se souvient que c'est sa famille politique qui a privilégié, depuis une trentaine d'années, l'agriculture intensive dans nos campagnes, avec les conséquences écologiques et sociales que cela a entraîné (épidémies de ''vache folle'', pollution par les pesticides, poulet à la dioxine, dumping dans les pays du Sud, etc.).




"Notre maison brûle" avait dit un jour un autre ancien pyromane mais, comme beaucoup de dirigeants politiques, il en est resté aux incantations.

Aujourd'hui il est nécessaire d'apporter de profonds changements à nos modes de vie.
 
Prendre en compte le risque climatique, c’est cette évidence que nous entendons depuis trop longtemps dans tous les discours officiels.

Le temps est venu de passer aux actes.

Oui aux solutions technologiques pour endiguer la surconsommation structurelle des pays les plus développés.

Mais arrêtons également de nous cacher derrière notre petit doigt, ce qui nous évite de nous remettre en question.


Une prise de conscience individuelle et collective de chacune et de chacun d'entre nous, dans nos comportements quotidiens, est aujourd'hui tout aussi essentielle que les solutions données par le gotha scientifique de la planète.
 
Aucun parti politique ne peut s'attribuer le monopole de la « bien pensance » en la matière, mais toute femme ou homme ayant des responsabilités auprès de ses concitoyens, se doit de considérer dans chaque acte ou décision ses conséquences écologiques.

Faire confiance aux citoyens, parier sur leur logique et leur intelligence en les informant de façon documentée et sérieuse, c'est en tout cas ce que nous, socialistes, nous engageons à faire dans les mois et les années qui viennent et c’est la base du projet que nous souhaitons mettre en place.

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