La poudre de Berlin Berlin

Publié le par Parti Socialiste Narbonnais



L'adolescent attardé qui nous sert de Président de la République se doit d'entretenir l'image de Maître du monde et de sauveur de l'humanité qu'il s'essaye d'incarner en vain (ou G 20 ?) depuis son élection.
 
Gageons que les historiens seront remettre à sa place ce médiocre mégalomane, qui aurait sauvé la Géorgie de la foudre Poutinienne, moralisé le capitalisme financier et donné l'un des premier coup de pioche dès le 9 Novembre 1989 sur le mur de la honte !

 
Qu'il se soit rendu comme beaucoup d'hommes politiques et intellectuels au lendemain de cet événement à la porte de Brandebourg, soyons bienveillants et accordons lui cette péripétie, d'autant que depuis lors il nous a prouvé avec sa politique économique quelle était sa propension à foncer droit dans un mur, en entraînant son pays derrière lui.
 
Un presti-agitateur qui nous vend sa poudre de... Berlin Berlin, voila ce dont nous avons hérité depuis 2 ans et demi !
 
La politique de civilisation peu mobilisatrice auprès de l'électorat Frontiste, que l'on nous avait vendu il y a quelques mois ayant fait long feu c'est un nouveau credo ou une nouvelle lubie qui nous est proposé : l'identité Nationale, élections régionales obligent.
 
Personne n'est dupe de cette manipulation permanente de l'opinion, d'ailleurs orchestrée à l'aide de sondages bidonnés et payés grassement à de fidèles amis.
 
Nicolas Sarkozy nous a montré il y a peu sa conception filiale de la méritocratie à la Française en voulant offrir non pas un iPod à son jeune fils comme tout un chacun, mais la présidence de l'EPAD : le plus grand centre d'affaire Européen.


Le dernier clip vidéo à la mode : "Give me my EPAD"
© Jean Sarkozy


C’est aussi au travers de son entourage, en l’occurrence le député Eric Raoult (un Frédéric Lefebvre en pire…) qu’il veut clouer le bec d'une de nos plus brillantes intellectuelles parce que crime de lèse majesté : Elle trouve monstrueuse la France Sarkozienne.

Ces deux exemples démontrent  s’il en est, qu’il n’est peut être pas le plus habilité à lancer un tel débat auprès de ses concitoyens.
 
Plutôt que de mobiliser les préfets qui ont déjà beaucoup à faire pour juguler les conséquences de votre politique sécuritaire, demandez leur donc à eux, qui sont le plus à même de vous faire remonter leur ressenti actuel vis-à-vis des Françaises et des Français, et parions que c'est d'amertume générale et non d'identité Nationale qu'ils vous entretiendront.

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M
<br /> Excellent article, très bien écrit !<br /> <br /> <br />
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